Bolide des neiges

Le traîneau Pélican de bébé qu'on utilisait depuis quelques années commençait à avoir fait son temps (il fallait pratiquement plier les jambes d'Arielle en 4 pour la rentrer là-dedans!).
Il existe bien des modèles de traîneau conçus pour les personnes handicapées, notamment en Norvège, mais ils coûtent quelques milliers de dollars... On a plutôt donné à Papi la mission de bricoler un traîneau adapté pour Arielle. Résultat, avec un traîneau acheté chez Canadian Tire et un vieux siège d'auto pour enfants :

Arielle était bien contente de pouvoir ainsi profiter de la neige. On songe aussi à l'utiliser pour aller patiner, ou encore pour dévaler quelques pentes douces près de la maison.

Le sulky (ou carrosse de princesse)

Voici, en primeur, le tout nouveau bolide d'Arielle!
Il s'agit en fait d'une remorque de vélo adaptée, construite sur mesure, qui se transforme également en poussette de jogging/patin à roulettes.
On y voit une certaine ressemblance avec le sulky des courses attelées ou, grâce au toit et au "trône" rembourré, avec un carrosse de princesse...
Du haut de ce trône royal, Mademoiselle peut donc observer en tout confort, en toute sécurité et, pour son plus grand plaisir, en toute vitesse ce qui se passe autour d'elle.

Voici la configuration poussette, au retour d'un tour de patins à roulettes :

Puis en version vélo, avec son Papi :

Bon, la saison de vélo tire (déjà!) un peu à sa fin, mais pour l'été prochain, nous nous promettons quelques jolies randonnées un peu plus loin que les rues avoisinantes.

On marche dehors

Le printemps semble finalement arrivé, alors nous avons sorti la marchette d'Arielle dehors!

Elle est très contente, surtout quand les petits voisins viennent jeter un oeil au bolide rose. Bon, elle a encore quelques difficultés avec la direction, surtout dans les pentes, mais l'enthousiasme y est!

 

 

Quand on la guide un peu, le trajet est un peu plus rectiligne. Mais ça viendra assurément!

 

 

La piscine en photos

Comme papa nous accompagnait à la piscine aujourd'hui, nous avons pu faire quelques photos de notre petit poisson, qui aime toujours autant s'éclater dans l'eau (même si ce n'est pas nécessairement évident lorsqu'on regarde les photos!).

Au petit trot...

Aujourd'hui, malgré le temps froid, j'ai pris mon courage à deux mains et habillé Arielle en bonhomme de neige pour un petit tour de traîneau dans la rue. Nous avions essayé le traîneau pour la première fois dimanche dernier, et l'expérience a été si concluante que je trouvais dommage de ne pas profiter de ces beaux rayons de soleil pour la renouveler !

Voici donc de quoi avait l'air notre exploratrice des régions polaires dans sa maison glissante :

Bon, j'avoue, on ne voit pas grand-chose. Prise deux, avec l'option toit ouvert :

Comme vous voyez, elle ne semble pas trop incommodée par le froid. Elle suivra peut-être la trace de ses parents, qui préfèrent explorer les régions nordiques que suer à grosses gouttes sur une plage...
Même les flocons de neige qui lui chatouillent le visage la font rigoler : pas de doute, c'est une vraie !

Promenade matinale

Nous avons profité d'une accalmie dans cette fin de semaine un peu moche pour nous balader un peu, au grand plaisir d'Arielle qui, si elle le pouvait, passerait bien sa vie entière en poussette (bon, elle garderait peut-être un peu de temps pour bouffer de la crème glacée, quand même!).




En ce qui concerne les nouvelles, disons d'abord que mon retour au boulot s'est bien passé, mais que je sens que les semaines vont filer à toute vitesse. Mes deux journées hebdomadaires au bureau seront bien remplies, aucun doute là-dessus ;-)
Quant à Arielle, disons qu'elle a moins apprécié... Elle m'a boudé mardi soir, et s'est révélée exécrable jeudi toute la journée. Pas moyen de la déposer nulle part, elle ne voulait que mes bras... La visite à la garderie s'est donc faite dans un climat plutôt boudeur, si ce n'est carrément colérique. Elle a recommencé à se réveiller la nuit et à faire quelques difficultés pour s'endormir. Je suppose que tout cela est normal, et qu'elle s'y fera, comme tout le monde !