dimanche 26 juillet 2009

La petite bouche par en bas

Ceux d’entre vous qui côtoyez Arielle plus régulièrement avez certainement remarqué qu’elle a traversé une période disons un peu… sauvage. Cette époque n’est pas totalement révolue, mais il y a indéniablement amélioration.
Une rencontre typique avec des gens inconnus ou peu connus (ce qui incluait à peu près tout le monde, en fait) débutait par l’observation avec les grandes billes bleues de la dite personne étrangère, suivie par une intense réflexion sur la probabilité d’intentions hostiles. Une fois la réflexion complétée, le verdict, à peu près toujours le même, tombait : une petite bouche par en bas…




2 commentaires:

  1. Anne, j'aime vraiment beaucoup lire tes billets. J'apprécie le ton avec lequel tu nous racontes la bien aimée Arielle. :-) Merci!

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  2. Merci, c'est gentil... Ça me fait du bien aussi de raconter ma petite Arielle, et pas juste en fonction de sa paralysie cérébrale.

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